quarta-feira, 29 de setembro de 2021

Automobile/semi-conducteurs: La crise continue!

 

Automobile/semi-conducteurs: La crise continue!

Semi-conducteurs : une pénurie qui impacte lourdement le secteur automobile.


La pénurie des semi-conducteurs, l'une des répercussions économiques les plus sévères de la crise liée au nouveau coronavirus (Covid-19), continue de s'aggraver à même de constituer un obstacle de taille pour un retour à la normalité de la production mondiale de l'industrie automobile.

La pénurie de semi-conducteurs responsable de l’arrêt de plusieurs chaînes de production chez les géants de l’automobile au rang desquels General Motors, Ford, Renault, Stellantis, se poursuit et devrait durer encore plusieurs mois, à entendre les patrons des fabricants de composants.

«Nous pilotons notre production en fonction des arrivages de pièces et de nos commandes», s’est exprimé sur le sujet un porte-parole de Stellantis. Faut-il rappeler que la production des véhicules au sein des usines du Groupe en France (notamment les plateformes de Rennes, Sochaux et Mulhouse) a vu leur cadence stopper provisoirement. Chez Renault, on estime que la crise pourrait coûter 100 000 voitures sur l’année. Toujours est-il que la firme au losange se dit en capacité de rattraper son retard dans le courant du second semestre.

Aussi, certains spécialistes qui font autorité sur le marché automobile, dont IHS Market, une entreprise américaine d’information économique, tablent sur un manque-à-gagner estimé à 700 000 véhicules au niveau mondial. Soit un chiffre relativement faible au regard d’un marché global estimé à près de 90 millions de voitures par an. D’autres spécialistes du secteur sont beaucoup plus pessimistes à l’instar de Bloomberg, groupe financier américain, qui a calculé que cette crise des semi-conducteurs pourrait coûter 60 milliards de dollars à l’ensemble de la filière cette année.

Toujours est-il que l’enjeu consiste à retrouver des capacités de production à tous les niveaux de la chaîne de valeur. Ainsi, le Taïwanais TSMC, qui contrôle 70 % du marché mondial de la fonderie de semi-conducteurs pour le secteur automobile, s’est engagé récemment à allouer davantage de capacités au secteur. Mais encore faut-il que les électroniciens soient également en mesure d’augmenter leurs capacités. Les sept principales sociétés d’électronique qui contrôlent 90 % du marché estiment cependant qu’il faut un an, voire un an et demi, pour construire les machines nécessaires. La crise des semi-conducteurs ne fait donc que commencer.

Une micropuce électronique est un circuit intégré (CI) imprimé sur un très petit semi-conducteur. Ces circuits intégrés semi-conducteurs, communément appelés « puces », forment un composant fondamental de tous les dispositifs électroniques et ont stimulé la croissance économique et l’innovation grâce à la numérisation des biens et des services.

Les voitures ne font pas exception à la tendance - une voiture contemporaine typique utilise plus de 1 400 puces semi-conductrices. Engagé dans la conception, la fabrication et la vente de produits IC, STMicroelectronics est le plus grand fabricant de logiciels intégrés d’Europe avec des composants de puces automobiles représentant 38% du chiffre d’affaires annuel avant COVID.

terça-feira, 7 de setembro de 2021

Opel Rocks-e produite à Kenitra, ou le gain stratégique européen par rapport à la Chine.

 

Opel Rocks-e produite à Kenitra, ou le gain stratégique européen par rapport à la Chine




Opel Roks-e sera construite sous 3 versions

C’est un secret de Polichinelle, après Renault, Dacia et Peugeot, la marque allemande Opel produira au Maroc et plus particulièrement à l’usine PSA de Kénitra son petit bijou électrique la Rocks-e.

En effet, le Groupe Stellantis (fusion PSA et Fiat Chrysler) qui exploite et commercialise quatorze marques automobiles dont cinq issues du Groupe PSA (Citroën, DS Automobiles, Opel, Peugeot et Vauxhall), est le quatrième sur le marché mondial automobile après Volkswagen Group, Toyota Group et Renault-Nissan Alliance, a décidé de mettre sur le marché à partir de Kénitra, la Rocks-e, une copie de l’ultra-citadine électrique de Citroën.

C’est un bon créneau puisqu’en Europe, les commandes seront possibles en Allemagne dès l’automne prochain et sur les autres marchés du Vieux continent au cours de 2022. Comme sa petite sœur, la Citroën, l’Opel Rocks-e devrait donc, être produite au Maroc dans l’usine PSA de Kénitra où la Peugeot 208 ainsi que la microvoiture Ami EV (première voiture de tourisme entièrement électrique à avoir été fabriquée en Afrique du Nord) sont déjà réalisées. Citroën et Opel ciblent un public jeune. La Rocks-e en a toutes les caractéristiques, puisqu’accessible aux utilisateurs à partir de 15 an en plus d’un tarif très compétitif (7 000 $). A titre de comparaison, la Citroën AMI coûte entre 6 000 et 7 360 euros.

Cela étant, la fabrication de voitures électriques (VE) d’Opel à Kénitra dépasse le projet de la Chine de construire des VE en Égypte. L’industrie automobile marocaine en sort avec un avantage important puisque précurseur en la matière. Cette décision représente également un gain stratégique pour la fabrication automobile européenne par rapport à la Chine. En tant que porte d’entrée vers l’Afrique de l’Ouest, le Maroc fournit à Opel et à sa société mère Stellantis une base de production à proximité pour l’éventuelle exportation rentable de véhicules électriques vers des marchés en pleine expansion en Afrique subsaharienne. C’est donc un gage pour le Royaume quant à la construction des VE.

Mais cela n’est pas une surprise en soi, le Maroc s’est déjà assuré sa place en tant que nouvelles compétence et destination du marché des VE avec notamment la société américaine implantée à Casablanca- Bouskoura, STMicroelectronics. Cette dernière qui vient de se lancer, fabrique le transmetteur principal pour les véhicules de Tesla. Le Royaume se voit attribuer du fait et de l’accord (faire du «sourcing»), avec la maison mère aux États-Unis, Tesla Motors un statut de partie prenante dans la fabrication de la célèbre marque automobile Tesla du milliardaire Elon Musk.  Sûr que le Maroc est en train sérieusement de se positionner sur le marché émergent des voitures électriques à l’échelle mondiale, en tout cas il en est le leader incontesté sur le continent.

 

Avec une capacité de production de plus de 700 000 véhicules par an, l’industrie automobile marocaine est le roi incontesté de la fabrication de véhicules toutes catégories en Afrique du Nord. Pourtant, avant Opel, l’Égypte se positionnait pour devenir le premier producteur de voitures électriques d’Afrique du Nord et ainsi émerger comme le prochain centre de fabrication automobile de la région. En effet, le constructeur automobile chinois Dongfeng a signé un accord-cadre en janvier 2021 avec une société de l’État égyptien, moribonde El Nasr, pour la production conjointe de VE en Égypte, au prix coûtant de 18 600 $ le VE.

Hespress, Economi

Par Mohamed Jaouad EL KANABI

 

Un géant de l’automobile allemand s’installe au Maroc.

 

Un géant de l’automobile allemand s’installe au Maroc

 



Malgré la persistance de la crise diplomatique entre Rabat et Berlin, une entreprise spécialisée dans l’industrie automobile a décidé de pénétrer le marché marocain pour promouvoir les exportations du Royaume de cette industrie, qui joue aujourd’hui un rôle important dans l’économie marocaine.

À cet égard, la société allemande “Opel“, spécialisée dans l’industrie automobile, a annoncé son intention d’implanter “Rocks-e” au Maroc, pour être la deuxième marque mondiale à décider de fabriquer des voitures électriques au Maroc après la société française “Citroën“. La nouvelle voiture électrique sera produite à Kénitra.

Des sources locales ont indiqué que ce qui distingue ce modèle, c’est qu’il est le premier au monde à introduire la SUM (Sustainable Urban Mobility), qui est la mobilité urbaine durable, étant donné que la production de cette voiture sera en coopération entre “Opel” et le “CETIEV 2.0” (Centre technique africain des industries des équipements pour véhicules) à Casablanca, qui est un centre et affilié au groupe allemand et spécialisé dans la recherche et le développement. Cette voiture sera destinée à la mobilité urbaine avec une vitesse de 45 kms/h.

Selon la société allemande, la vente des premières unités de cette voiture électrique se fera en Allemagne, puis elle sera vendue à l’international en 2022, ce qui est la même chose que Citroën a fait, où les premières unités ont été destinées à la vente en France et,  par la suite, au monde à un stade ultérieur.

Par MJT Morocco Jewish Times

sexta-feira, 26 de março de 2021

L'industrie automobile : en 2020, le secteur a traversé la pire crise de son histoire

Ce jeudi 25 Mars, l’Organisation internationale des constructeurs (OICA) a indiqué que le secteur automobile a traversé cette année «la pire crise de son histoire».

L’OICA a révélé que la production mondiale du secteur a chuté de 16% en 2020, atteignant le niveau enregistré en 2010, qui était de moins de 78 millions de véhicules. 

2020, qui a succédé à une année 2019 marquée par un ralentissement de production, «a balayé la croissance de ces dix dernières années», a souligné Fu Bingfeng, président de l’organisation.   Et d’ajouter qu’avec les problèmes d’approvisionnement en pièces que rencontre aujourd’hui l’industrie, en marge de la crise sanitaire, le premier semestre 2021 pourrait également connaître une faible production.

Dans le détail, la production a baissé de 21% en Europe, de 20% en Amérique du Nord et de 30% en Amérique du Sud. L’Asie, qui représente plus de la moitié de la production mondiale, n’a cependant connu une chute que de 10%. La Chine en particulier s’est «très vite remise après avoir été durement frappée début 2020», note l’OICA.

Par ailleurs, en matière de ventes, les constructeurs ont enregistré une baisse de 12% au niveau mondial en 2020. Mais, Fu a souligné que «les derniers mois de 2020 ont montré une reprise progressive du marché».

L'industrie automobile © Romuald Meigneux

Par Khansaa B., Publié le 26/03/2021

terça-feira, 9 de fevereiro de 2021

MAROC - L’industrie automobile Marocaine

Le Forum économique mondial choisit l’industrie automobile Marocaine comme modèle



L’expérience de l’industrie automobile marocaine présente de “précieuses” leçons pour les d’autres pays africains, a souligné le Forum économique mondial (WEF – World Economic Forum) dans un récent rapport. Cette industrie est basé sur quatre hubs qui ont été construits sur six écosystèmes (câblage, métal et emboutissage, batterie, intérieur du véhicule et sièges, moteurs et transmission et carrosseries de camions et de véhicules industriels), mis en place en collaboration avec de grands équipementiers mondiaux, a relevé WEF dans ce rapport intitulé “Connecter les pays et les villes pour l’intégration de la chaîne de valeur régionale de la ZLECAF” et réalisé en partenariat avec le cabinet Deloitte. Le succès de ces hubs peut être attribué, d’après la même source, notamment à la mise en œuvre des politiques au sein des zones franches qui ont permis aux entreprises d’exporter 85% en plus de l’exemption de production des taxes et TVA sur les entreprises, ainsi qu’aux banques offshore actives dans les zones franches marocaines des exportations, lesquelles offrent des services financiers personnalisés pour les investisseurs locaux et étrangers dans l’industrie automobile.

Il s’agit aussi du développement de réseaux de chaîne d’approvisionnement efficaces pour gérer la logistique à même d’améliorer les délais d’expédition et par conséquent la productivité, ainsi que du co-investissement dans les infrastructures clés. En outre, le WEF, qui indique que le Maroc a mis en place des programmes de développement des compétences axé sur les employés à différents niveaux et alignés avec les exigences de la production dans les hubs, met l’accent sur la stratégique facilitation du commerce avec des partenaires potentiels d’exportation sans droit de douanes qui est de nature à permettre de créer une économie d’échelle.

Cité par le rapport, le ministre de l’Industrie, du commerce et de l’économie verte et numérique, Moulay Hafid Elalamy, a rappelé que le succès peut être attribué aussi à la volonté de leadership visant à créer une industrie ancré sur l’avenir de la mobilité. “Nous anticipons également les technologies de demain. À l’avenir, nous travaillerons davantage sur les véhicules connectés et nous continuerons de construire des écosystèmes dans ce sens”, a-t-il soutenu, ajoutant que cela permet de croire que l’investissement réalisé produira des rendements orientés vers la transition mondiale de l’industrie vers la quatrième révolution industrielle. Parallèlement, le rapport fait savoir que le Royaume a réussi le développement de sa capacité de production locale, avec 50 entreprises spécialisées créant plus de 148.000 emplois directs entre 2014 et 2019 et une production annuelle de plus de 400.000 véhicules avec un taux d’intégration de 60%.

La proximité du Maroc avec marchés européens, notamment, la France, l’Espagne, l’Allemagne (9%) et l’Italie (9%) et les marchés du Moyen-Orient (5%) ont permis une production de masse, alors que le Maroc continue de renforcer sa compétitivité à l’échelle mondiale, explique la même source.

quinta-feira, 14 de janeiro de 2021

L'industrie automobile au Maroc démarre bien l'année 2021

L'industrie automobile au Maroc démarre bien l'année 2021.

Premier secteur exportateur avant la crise, l’industrie automobile a connu une année 2020 difficile marquée par la pandémie du coronavirus. Cependant, cette année 2021 démarre en fanfare. Le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Économie verte et numérique a conclu un accord avec deux groupes japonais Yazaki et Sumitomo pour la création de quatre usines. Le coût des investissements est estimé à 912 millions de dirhams. Ces usines devant générer un total de 8.300 emplois.

L’année 2021 ne pouvait pas mieux commencer pour le secteur de l’industrie automobile au Maroc. Le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Économie verte et numérique a signé ce 12 janvier 2021 à Casablanca deux protocoles d’accord avec les groupes japonais Yazaki et Sumitomo pour la création de quatre usines dans le secteur automobile. Ces dernières seront construites à Casablanca, Tanger, Meknès et Kénitra. Avec un coût d’investissement estimé à 912 millions de dirhams (462 millions de dirhams de Yazaki et 450 millions de dirhams pour Sumitomo), ces usines devraient générer 8.300 emplois.

Moulay Hafid Elalamy, ministre de l’Industrie, a déclaré que ces nouveaux investissements confirment la place du Maroc comme pays dont la qualité, la performance et la diversité offrent d’excellentes perspectives aux leaders industriels mondiaux. «Le Maroc est en passe de devenir le hub automobile le plus compétitif au monde. Nous comptons poursuivre sur cette lancée en améliorant l’intégration profonde de nos écosystèmes et en décarbonant la production industrielle», déclare MHE.

Ce protocole d’accord signé avec les deux groupes japonais intervient deux semaines seulement après que le groupe chinois Citic Dicastal, leader mondial spécialisé dans le moulage de l’aluminium et dans la production de pièces automobiles en aluminium ait annoncé le renforcement de sa présence au Maroc. En effet, l’entreprise chinoise s’est implantée à Kenitra pour un coût global de 350 millions d’euros. Le nombre de postes créés devrait atteindre quant à lui 1.250 emplois. La nouvelle usine dont les travaux ont commencé en novembre 2019 devrait permettre au groupe de doubler sa capacité de production annuelle de jantes pour atteindre 6 millions d’unités.


VIRMOUSIL MAROC SARL

Un avenir radieux:

Premier secteur exportateur au Maroc avant la crise, l'industrie automobile marocaine est en concurrence au niveau international avec les plus grands pays du monde en la matière. Lors d’une intervention au Parlement mi-décembre dernier, Moulay Hafid El Alamy (MHE) avait déclaré le Maroc est dans le top 3 mondial en matière de compétitivité dans le secteur. Il est devancé uniquement par la Chine et l’Inde.

Concernant les exportations, elles atteignent en valeurs 80 milliards de dirhams, dont 60% de produits locaux. Moulay Hafid El Alamy a indiqué que ce taux permettra au secteur de l’automobile de surpasser l’industrie des phosphates en matière de valeur ajoutée. Une nouvelle qui réjouit également Hakim Abdelmoumen, président de la Fédération de l’automobile. Ce dernier a souligné que le secteur a largement dépassé ses objectifs initiaux, tracés en 2015, en créant plus de 150.000 emplois et en s’approchant de la barre des 100 milliards de dirhams d’exportations.

Les ambitions du Maroc ne s’arrêtent pas là. Le Royaume se fixe comme objectif de se mettre à hauteur des deux leaders mondiaux, la Chine et l’Inde. MHE précise que le Maroc ne manque pas d’ambitions et a la capacité de relever le défi. 

De bon augure pour les années à venir.

Par Mohamed L., Publié le 13/01/2021

VIRMOUSIL MAROC SARL

quarta-feira, 13 de janeiro de 2021

Pourquoi choisir le Portugal pour y investir & What makes foreign investors choose Portugal to develop their business

 
 L’AICEP a lancé une vidéo sur le Portugal: 

Pourquoi choisir le Portugal pour y investir? 

  Le Portugal est un pays moderne et innovant qui respecte à la fois ses principes et ses valeurs, sa tradition et son histoire. 
Cette vidéo présente le Portugal innovateur, moderne et entrepreneurial, qui dispose d’un environnement commercial favorable et attrayant pour l’investissement étranger et le commerce international. 

What makes foreign investors choose Portugal to develop their business? Portugal is a modern and innovative country that at the same time respects its principles, values, traditions and history. 
A country that stands out for the talent of its people and for the quality and sophistication of products made in Portugal. 

 O que leva os investidores estrangeiros a escolher Portugal para desenvolver os seus negócios? 
Portugal é um país moderno e inovador que ao mesmo tempo respeita os seus princípios e valores, a sua tradição e a sua história. Um país que se destaca pelo talento das suas pessoas e pela qualidade e sofisticação dos produtos made in Portugal.


(TRADING & CONSULTING)