sábado, 16 de novembro de 2019


Electroménager:
l’écosystème industriel BOSCH est lancé.

Il s’agit d’un petit écosystème. Rien à voir avec l’automobile ou l’aéronautique. Mais il permettra au Maroc de mettre un pied dans l’industrie de l’électroménager, en s’associant au géant européen du secteur, le groupe BSH. L’écosystème sera dédié au sourcing de pièces et composants pour les produits électroménagers. Ils seront destinés aux usines d’assemblage du groupe en Europe. En d’autres termes, pas d’implantation d’une usine BSH au Maroc. Le Maroc aura affaire à la filiale de BSH en Espagne. Les objectifs sont : mobiliser 15 fournisseurs pour des investissements de 25 millions d’euros (275 MDH), afin de créer 2.000 emplois et générer des recettes d’exportations de 150 millions d’euros (1,65 milliard de DH). L’écosystème permettra de développer les métiers de la métallurgie, de la plasturgie et des composants électriques et électroniques. Il est déjà en marche. Les conventions des premiers investissements ont été signées le jour même du lancement de l’écosystème. La société espagnol Gravalos Constructionnes investira 40 MDH dans une unité de production d’inducteurs pour les plaques de cuisson. 

Deux autres sociétés déjà présentes au Maroc ont intégré l’écosystème.

Il s’agit de VIRMOUSIL MAROC, une société active depuis 15 ans dans l’assemblage de faisceaux électriques, l’assemblage de composants de sécurité et de l’habitacle et d’essuie-glaces.

Et de Sigit, présente depuis 2014 et fournissant des pièces plastiques au secteur automobile.

Deux autres signatures avec des entreprises dont l’identité n’a pas été dévoilées sont imminentes, selon le ministre. Selon ce dernier, cet écosystème est en négociation avec le groupe BSH depuis 2018.

Il permettra de développer 15 technologies et commodités clés dans l’électronique et l’électricité de haut niveau. 
Le groupe BSH compte 61.000 collaborateurs et 42 sites de production à travers le monde. En Espagne, il emploie plus de 4.000 personnes dans 4 sites de production, une plateforme logistique centrale et plusieurs centres d’excellence développant des technologies pour l’ensemble du groupe. Il est présent commercialement au Maroc depuis 20 ans et dispose d’une filiale locale depuis 2008.

sexta-feira, 26 de julho de 2019

A ECONOMIA DE MARROCOS

Marrocos procura ser um grande centro logístico mundial, bem como o maior de África, atraindo grandes empresas e tecnologias, e tem vindo a apostar cada vez mais na logística para esse efeito. Recentemente foi inaugurado o Tanger Med 2, uma expansão do anterior Tanger Med na qual investiu 88 mil milhões de dirhams (cerca de 21.3 mil milhões de euros), dos quais 53 (cerca de 12.8) provenientes de investimento privado.
Este novo investimento, localizado no Estreito de Gibraltar, a 40km de Tanger e a 14 da costa espanhola, levou a um aumento de capacidade de 3,5 para 9,5 milhões de TEU por ano, ultrapassando os seus concorrentes Porto Said, no Canal de Suez, e Durban, na África do Sul, ambicionando crescer um milhão de TEU anualmente.
Em Tanger Med já passam 139 mil milhões de dirhams (cerca de 33.7 mil milhões de euros) em mercadorias, o equivalente a 50% das exportações de Marrocos, e fora responsável pela ligação, pela primeira vez, dos portos de Djibuti, Irlanda, Bahrein, Guatemala e Madagáscar. Graças a este porto, 912 empresas dos sectores industrial, logístico e de serviços, como por exemplo a Bolloré, estão presentes no país.
A aposta nas zonas livres também tem trazido vantagens para o país, e clientes, encontrando-se em Marrocos a principal do continente africano, a Zona Franca de Tanger (TFZ). Por exemplo, a Zona Logística Livre Medhub, inaugurada em 2008, traz vantagens fiscais e aduaneiras aos seus clientes, entre os quais Bolloré, Bosch, Emirates ou Société Nationale du Transport et de la logistique (SNTL).
Marrocos tem ainda em desenvolvimento um projecto em parceria entre a Tangier Tech Development Company e a China Construction Communication Company, chamado Cité Mohammed VI Tânger Tech, uma smart city que irá abranger indústrias e multinacionais em mais de 2.000 hectares, reforçando especialmente a presença chinesa no país.


(TRADING & CONSULTING)